Smashfactor

Smashfactor est une manière de calculer la qualité du frape. Presque tous les launchmonitors calcule le smashfactor.

Le calcul est : smashfactor = vitesse de la balle / vitesse de la club.

Example : vitesse de club = 100 mph et le vitesse de balle = 150 mph. --> smashfactor = 1.50 ou 150%

Il ya un smashfactor maximum pour chaque club, si le frape est dans le sweetspot:

1 + COR
-------- x cos (loft)
1 + m/M

COR = coefficient of restitution
m = masse de la balle
M = masse de la tete

Normalement avec le driver le COR = 0.83 et pour le fer 0.78. Le 0.83 est le maximum autorisé.

Il me semble que dans cette équation on doit considérer la variable cos(loft) comme étant en fait cos(loft dynamique - angle d'attaque).

D'autre part en ne sélectionnant que les frappes exactement situées sur le sweet spot, on élimine un peu rapidement la variable la plus importante de l'équation qui sont les frappes décentrées.

Le smash factor reste à ce jour un résultat de test consécutif à une frappe de balle réalisée par un joueur.
Utiliser le terme de smash factor en éliminant l'humain (la frappe effective) c'est relier arbitrairement des résultats de tests pratiques avec des calculs théoriques différents.

La formule plus haut n'est pas réellement un smash factor, c'est uniquement un indicateur de l'efficacité d'un club donné en fonction de ses caractéristiques physiques.

Il se trouve juste que cette formule coïncide avec les résultats d'un smash factor mesuré par divers matériels (Trackman par exemple) lorsque la frappe est exactement au sweet spot.

superlent a écrit:

Il me semble que dans cette équation on doit considérer la variable cos(loft) comme étant en fait cos(loft dynamique - angle d'attaque).

D'autre part en ne sélectionnant que les frappes exactement situées sur le sweet spot, on élimine un peu rapidement la variable la plus importante de l'équation qui sont les frappes décentrées.

Le smash factor reste à ce jour un résultat de test consécutif à une frappe de balle réalisée par un joueur.
Utiliser le terme de smash factor en éliminant l'humain (la frappe effective) c'est relier arbitrairement des résultats de tests pratiques avec des calculs théoriques différents.

La formule plus haut n'est pas réellement un smash factor, c'est uniquement un indicateur de l'efficacité d'un club donné en fonction de ses caractéristiques physiques.


Il se trouve juste que cette formule coïncide avec les résultats d'un smash factor mesuré par divers matériels (Trackman par exemple) lorsque la frappe est exactement au sweet spot.

superlent a écrit:

Il me semble que dans cette équation on doit considérer la variable cos(loft) comme étant en fait cos(loft dynamique - angle d'attaque).

correcte

superlent a écrit:

La formule plus haut n'est pas réellement un smash factor,

.....un formule pour le colision entre balle et tete mais dans le monde de golf connu sous le nom "smashfactor"

superlent a écrit:

c'est uniquement un indicateur de l'efficacité d'un club donné en fonction de ses caractéristiques physiques.

et le balle

Le problème est qu'on appelle du même nom deux concepts physiques différents; l'un qui est une mesure réalisée lors de tests "in vivo", c'est le smash factor des Trackman et autres analyseurs de swing, et c'est celui auquel se réfèrent les médias (par exemple les commentaires sur Golf Channel lors des tournois), qui l'associent au joueur (avec raison) et non au matériel.

L'autre est un indice de performance lié à la construction géométrique et physique d'un club comme le montre la formule plus haut. Les variables sont la masse de la tête de du club, la masse de la balle (et c'est la seule variable concernant la balle) et enfin le COR qui sous des airs "ésotériques" ressemble en fait beaucoup à un indice d'élasticité (comparativement à sa plasticité) de la tête du club. Je pense que si on veut se servir de ce smash factor des clubmakers, il n'est plus nécessaire de faire intervenir les variable de loft et d'angle d'attaque, car il serait aberrant de vouloir comparer les performances de deux clubs différents sur ce point.

Cette formule peut se simplifier encore en considérant que la masse de la balle est assez constante, d'autant qu'il y a peu d'intérêt à vouloir comparer des clubs dans des conditions éloignées. Cet indice de performance ne dépend plus alors que de la masse de la tête de club et du COR de sa surface au niveau du sweet spot (il faut bien sélectionner un COR, sachant qu'il est variable selon le point de mesure choisi sur la face).

Si on veut au contraire élaborer une formule qui modélise le smash factor mesuré par les radars, il devient nécessaire de faire rentrer, au moins provisoirement, d'autres variables, concernant la balle (quel est son COR, où plutôt que est son coefficient d'absorption et de déformation plastique), probablement également concernant le golfeur (sa masse et sa puissance délivrée lors de l'impact) car il ne s'agit pas d'une collision instantanée au sens physique, et d'autres encore.

superlent a écrit:

Le problème est qu'on appelle du même nom deux concepts physiques différents; l'un qui est une mesure réalisée lors de tests "in vivo", c'est le smash factor des Trackman et autres analyseurs de swing, et c'est celui auquel se réfèrent les médias (par exemple les commentaires sur Golf Channel lors des tournois), qui l'associent au joueur (avec raison) et non au matériel.

L'autre est un indice de performance lié à la construction géométrique et physique d'un club comme le montre la formule plus haut. Les variables sont la masse de la tête de du club, la masse de la balle (et c'est la seule variable concernant la balle) et enfin le COR qui sous des airs "ésotériques" ressemble en fait beaucoup à un indice d'élasticité (comparativement à sa plasticité) de la tête du club. Je pense que si on veut se servir de ce smash factor des clubmakers, il n'est plus nécessaire de faire intervenir les variable de loft et d'angle d'attaque, car il serait aberrant de vouloir comparer les performances de deux clubs différents sur ce point.

Cette formule peut se simplifier encore en considérant que la masse de la balle est assez constante, d'autant qu'il y a peu d'intérêt à vouloir comparer des clubs dans des conditions éloignées. Cet indice de performance ne dépend plus alors que de la masse de la tête de club et du COR de sa surface au niveau du sweet spot (il faut bien sélectionner un COR, sachant qu'il est variable selon le point de mesure choisi sur la face).

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Rechercher, par exemple au drive, quel est le club qui, pour un angle d'envol optimal en fonction de la vitesse de swing donne le meilleur Smash moyen est particulièrement important . Pour deux fers de même loft, shaft etc, et ne différant que par la tête, c'est une indication qui aide le golfeur dans sonchoix. Ainsi par exemple, une tête TW 870 Ti , de même qu'une forgée Miura feront apparâitre un Smash moyen particulièrement élevé, ce qui aura une incidence marquée sur la distance.

Ce qui pose question c'est que le choix de la tête interviendra assez tard. En fonction des capacités physiques et du bagage technique du joueur, on aura déterminé outre le shaft, la masse optimale de la tête de club, puisque plus la masse est élevée plus la vitesse de la tête sera faible (le golfeur est en pratique le plus souvent à énergie max au driving, donc si l'énergie potentielle (qui est facteur de la masse de la tête de club) augmente, l'énergie cinétique et donc la vitesse de club diminue). A l'inverse, faire baisser outrageusement la masse de la tête de club augmente certes la vitesse avant impact, mais alors le rapport M/m (club/balle) devient moins favorable. Le loft vient vite après, déterminé par le launch angle désiré en fonction de la vitesse initiale de balle prévue.

Une fois ces choix réalisés, on finira par choisir une tête qui aura un COR moyen le meilleur possible, et donc une face la plus fine possible (pour limiter l'absorption plastique d'énergie qui est facteur de la quantité de matière entre autres) fixée au reste de la tête avec une transition brutale pour éviter les dispersions dans le reste de la tête (un modèle théorique reste le tambour). Plus simplement le constructeur va "tricher" en réalisant une tête avec un COR max bien au dessus des 0.83, ce qui lui garantira en dehors du sweet spot un COR effectif proche de cette valeur. Il abaissera le COR max en apposant de la matière dans les zones où le COR mesuré est trop élevé.

superlent a écrit:

Ce qui pose question c'est que le choix de la tête interviendra assez tard. En fonction des capacités physiques et du bagage technique du joueur, on aura déterminé outre le shaft, la masse optimale de la tête de club, puisque plus la masse est élevée plus la vitesse de la tête sera faible (le golfeur est en pratique le plus souvent à énergie max au driving, donc si l'énergie potentielle (qui est facteur de la masse de la tête de club) augmente, l'énergie cinétique et donc la vitesse de club diminue). A l'inverse, faire baisser outrageusement la masse de la tête de club augmente certes la vitesse avant impact, mais alors le rapport M/m (club/balle) devient moins favorable. Le loft vient vite après, déterminé par le launch angle désiré en fonction de la vitesse initiale de balle prévue.

Une fois ces choix réalisés, on finira par choisir une tête qui aura un COR moyen le meilleur possible, et donc une face la plus fine possible (pour limiter l'absorption plastique d'énergie qui est facteur de la quantité de matière entre autres) fixée au reste de la tête avec une transition brutale pour éviter les dispersions dans le reste de la tête (un modèle théorique reste le tambour). Plus simplement le constructeur va "tricher" en réalisant une tête avec un COR max bien au dessus des 0.83, ce qui lui garantira en dehors du sweet spot un COR effectif proche de cette valeur. Il abaissera le COR max en apposant de la matière dans les zones où le COR mesuré est trop élevé.

La vitesse de frappe dépend du MOI du club , qui lui même est fonction du carré de la longueur... On peut donc parfaitement maintenir ainsi la vitesse de la tête du driver, tout en ayant une tête plus lourde. Alors l'énergie cinétique transférée à la balle augmentera et sa vitesse également... A l'inverse, une tête plus légère, montée sur un shaft plus long , fera souvent baisser la virtesse moyenne de frappe , en raison de l'augmentation du MOI du club. Seuls les golfeurs ayant une excellente technique et un release très tardif pourront en bénéficier. Et encore...

Le loft optimal est fonction de la vitesse de frappe et de l'angle d'attaque.

A priori on n'attend pas d'avoir analysé tout ça pour déterminer la/ les têtes qui ont le meilleur COR, et la meilleure répartition de ce COR sur la face. Ca ça dépend des techniques de fabrication des clubs et on le sait avant de démarrer...

Est-ce que l'angle d'attaque est toujours constant dans le swing ? j'ai comme un doute....

King of Putting ! a écrit:

Est-ce que l'angle d'attaque est toujours constant dans le swing ? j'ai comme un doute....

Rien n'est jamais constant dans le swing,on se base sur des moyennes. Et ma dispersion autour de la moyenne dépend du niveau d'expertise du golfeur et de la qualité de réglage des club.